Arénicola marina : le ver marin breton, trésor biologique et espoir des biotechnologies
Sous les plages de Bretagne se cache un organisme discret mais remarquable : l’Arénicola marina, dont l’hémoglobine peut transporter jusqu’à cinquante fois plus d’oxygène que celle de l’homme. Longtemps considéré comme un simple appât, ce ver marin est aujourd’hui au cœur de recherches biotechnologiques prometteuses.
Un potentiel médical unique
La capacité exceptionnelle d’oxygénation de l’Arénicola marina ouvre des perspectives majeures :
- Conservation d’organes en transplantation, en prolongeant leur viabilité.
- Cicatrisation des plaies chroniques et soins des grands brûlés, grâce à une oxygénation accrue des tissus.
- Médecine d’urgence et neurologie, en apportant rapidement de l’oxygène lors d’AVC ou de traumatismes.
De la recherche aux patients
Cette avancée rappelle que la biodiversité marine peut devenir une source majeure d’innovation biomédicale
Chez Brothier, nous partageons cette conviction : nos dispositifs à base d’alginate, extraits d’algues brunes, traduisent déjà cette approche en offrant aux soignants des solutions simples, efficaces et respectueuses de la biodiversité.
L’enjeu des prochaines années sera de transformer ce potentiel scientifique en solutions concrètes pour les patients, avec une exigence de sécurité, de durabilité et d’impact positif pour le système de santé.
Pour en savoir plus sur l’arrêté et les espèces concernées : Lire l’article complet
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