Un patch cardiaque 3D pour réparer le muscle après infarctus
Et si la régénération du cœur devenait possible après un infarctus ?
C’est la promesse d’une avancée majeure portée par des chercheurs de l’ETH Zurich, qui travaillent sur un dispositif inédit : un patch cardiaque en trois dimensions, capable de protéger le muscle, de stimuler sa réparation et de disparaître progressivement une fois sa mission accomplie.
Un concentré d’innovation scientifique:
Ce patch repose sur une architecture complexe associant plusieurs composants complémentaires :
- Un filet protecteur, qui soutient mécaniquement le cœur fragilisé.
- Un polymère biodégradable, pensé pour se résorber naturellement après implantation.
- Un hydrogel enrichi en cellules cardiaques, véritable moteur biologique du processus de régénération.
En synergie, ces éléments créent un environnement propice à la cicatrisation tissulaire. Le patch agit à la fois comme un support mécanique et comme un catalyseur de la régénération cellulaire, redonnant progressivement de la force au muscle cardiaque.
Un enjeu médical majeur:
Chaque année, des millions de personnes sont victimes d’infarctus. Les séquelles laissent le cœur affaibli et exposent les patients à des complications chroniques, parfois graves. Or, les options actuelles de réparation cardiaque restent limitées. Cette innovation ouvre donc une perspective unique : celle d’un dispositif capable non seulement de pallier la perte de fonction, mais aussi de restaurer une partie de la vitalité du tissu cardiaque.
Innover pour transformer la santé:
Au-delà de la performance technologique, ce patch illustre une tendance de fond : l’exploration de nouveaux biomatériaux capables d’accompagner le corps dans ses propres mécanismes de guérison. C’est une voie que Brothier suit depuis toujours dans le domaine de la cicatrisation : utiliser les propriétés uniques des matériaux pour accélérer la réparation et améliorer la qualité de vie des patients.
Chez Brothier, nous croyons que ces innovations, qu’elles concernent le cœur ou la peau, sont autant de preuves que les matériaux de demain peuvent transformer la santé de manière durable.
👉 Pour en savoir plus sur l’arrêté et les espèces concernées : Lire l’article complet
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